Ce que nous avons vu et qui est palpable, c’est que le Togo se modernise en infrastructures et en démocratie ; ce que nous avons vu aussi, c’est que les Togolais préfèrent un travailleur pour lui réclamer plus d’efforts à un oisif évasif qui se livre au rejet systématique de ce que croit le peuple.
Le peuple togolais a décidé désormais de ne classer que les projets de société axés sur son épanouissement politique et économique ainsi que sur le rayonnement international de son pays. Dans ce classement, les Togolais n’ont trouvé que l’Union pour la République (UNIR) dont les œuvres et les initiatives son concrètes, mais qui promet de faire mieux. Ils définissent ainsi l’alternance comme les progrès dans les libertés publiques et des choix démocratiques de leurs gouvernants. Le vote émis le 25 juillet dernier est la manifestation la plus visible de la compréhension de la démocratie par l’opinion togolaise. C’est la preuve que les Togolais ont rejeté la cohabitation, et que leurs choix du 4 mars 2010 en votant jusqu’à plus de 60% pour le Président Faure Essozimna Gnassingbé, n’étaient pas hasardeux.
Le vote ethnique a chuté face au vote républicain. Ainsi, le parti présidentiel – l’Union pour la République – a été compris jusqu’au cœur des bastions ou dernier retranchements des franges brevetées et certifiées de l’opposition en culte de la contestation. La vraie alternance vient des urnes, quoiqu’avec un taux d’abstention non nul et tant de bulletins nuls. Le peuple a décidé de soutenir le projet de société du Président Faure Gnassingbé, pas seulement parce qu’il le réalise avec constance et avec pour objectif de d’atteindre les objectifs communs de la société mondiale que sont les OMD, mais surtout parce que le Chef de l’Etat donne à tous la parole qu’il a libérée depuis 2005. Les Togolais ont ainsi préféré l’alternance des projets de développement au simple remplacement de personnes.
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