Le président fondateur de la compagnie panafricaine de transport aérien Asky et tout l’ensemble de son personnel se réjouissent des fruits de leurs efforts pendant l’exercice 2015 étant donné que cette période leur a permis de faire un bénéfice de 2,2 milliards de FCFA. C’est un résultat qui vient récompenser les dures années de difficultés qu’a traversées la compagnie depuis sa création. Cette compagnie qui fait aujourd’hui la fierté des africains et son personnel promet de faire mieux qu’hier et plus davantage demain.
L’information a été portée à la connaissance des actionnaires de ladite compagnie et des professionnels des médias à l’issue de l’Assemblée Générale de la compagnie qui s’est tenue vendredi dernier à Lomé.
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« Nous avons le souci d’améliorer l’accueil de nos clients étant donné que nous sommes une compagnie purement commerciale et que nous dépendons de nos clients, puisque c’est eux qui permettent à la compagnie être viable. Nous avons l’obligation de leur offrir le meilleur service possible et il faut comme l’a souligné le président, avoir les appareils qui décollent et arrivent attend, il faut avoir un service de sol performant avec les infrastructures, ce qu’on a aujourd’hui, il faut que le personnel soit également à la hauteur pour pouvoir fournir ces services la. Et donc nous essayons d’inculquer cette culture de manière continue comme toutes les compagnies aérienne le font, pour que nos services soient encore plus fort comme il l’est à présent », a laissé entendre le Directeur Général d’Asky, Henok Teffera.
Comme perspectives d’avenir, Asky compte étendre ses vols et desservir d’autres pays de la sous-région de l’Europe. « Aujourd’hui, nous avons demandé à pouvoir effectuer des vols sur la Mauritanie, le Cap Vert et d’autres pays de la sous-région et nous espérons être désignés pour opérer des vols à Paris », a-t-il conclu.
Pour mémoire, Asky a été officiellement lancée en 2010 à Lomé par un togolais en la personne de Koffi Djondo. Elle est la compagnie aérienne en Afrique dont la croissance a été plus rapide et qui a réussi à développer un plus large réseau de destination en Afrique de l’Ouest et Centrale, reliant vingt-trois (23) capitales politiques et économique de la région avec une flotte moderne avérée.
Source : Elite d’Afrique
