Khardiata-Lo-NDiaye, représente résidente du PNUD au Togo
Khardiata-Lo-NDiaye

Le Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC) est un de ces ambitions projets lancé par le gouvernement togolais en 2016 et dont l’enjeu est d’améliorer les  conditions de vie des populations vivant dans les zones peu ou mal desservies par les infrastructures et services socio-économiques de base dans les régions, préfectures et cantons du Togo.

Jeudi 19 janvier  à Lomé,  les responsables du Programme des Nations Unies pour le Développement ont signé une convention avec une quarantaine d’entreprises de travaux publics pour le réalisation d’infrastructures sociaux de base.

Cet accord devra déboucher sur la construction de plus de 200 salles de classe, de 4 centres médico-sociaux, de 8 unités de soins périphériques, entre autres. Le coût total de cette phase du PUDC est estimé à près de 4 milliards de FCFA.

Et comme le souligne Mme Kardhiata Lô N’Diaye, la Représentante Résidente du PNUD au Togo, « Les contrats dont nous procédons ce jour à la signature vont assurer la construction de 226 salles de classes, 22 blocs administratifs, 22 laboratoires et 100 blocs latrines dans le domaine de l’éducation, et celle de 4 centres socio-médicaux, 8 Unités de Soins Périphériques (USP), 20 incinérateurs ainsi que la réhabilitation de 3 hôpitaux préfectoraux et de 2 USP dans les préfectures ».

En octobre 2016, le PNUD par le biais du PUDC passait un accord similaire avec une douzaine d’entreprises dans le cadre de la première phase des travaux de constructions de 406 km de pistes rurales sur toute l’étendue du territoire

 

 

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