Ne dit-on pas en pays Akposso que le neveu est l’héritier de l’oncle ? Le maître de la libation a tout dit : Amou-Oblo qui ne finit pas de pleurer la célèbre magistrate OSSEYI Massan Véronique – mère du candidat Mey, jubile a l’annonce du retour aux oncles de ce dernier.
- Doléances directes, actions en direct !
Un candidat porté par ses électeurs, rien d’étonnant. Les populations de l’Amou ont du candidat Mey Gnassingbé, des considérations au-delà du choix porté sur sa personne par le parti (Union pour la République), dont il porte les couleurs pour les élections du 20 décembre 2018.
« La candidature de l’homme (Mey Gnassingbé), souvent qualifié de ‘ressource rare’ et de « chouchou »du peuple Akposso par ses fans que nous sommes, nous l’aurions réclamée si notre frère et neveu n’avait pas accepté de se lancer dans la course pour être notre porte-voix à l’Assemblée nationale… », a confié un participant au meeting de Sodo, très enthousiaste.
Aussitôt dit, aussitôt fait
L’étape de Sodo a été l’une des plus vivantes de la démonstration de la sincérité de l’engagement des candidats de l’UNIR. Juste après le bain de foule, Mey a fait dépêcher un bulldozer pour l’aménagement du terrain de football, équipement sportif important pour l’épanouissement de la jeunesse et le développement local. Les populations ont vécu du concret en direct !
Et pour cause, Mey Gnassingbé n’a pas attendu d’être investi candidat de l’UNIR avant de prendre l’initiative des actions sociales et de réalisation du bien-être des communautés vulnérables. La circonscription de l’Amou, comme plusieurs autres y compris la capitale Lomé, reconnaît l’impact tangible des réalisations de Mey Gnassingbé : l’électrification et la réhabilitation de plusieurs établissements scolaires, la dotation des centres médicaux en ambulance et équipements de secours d’urgence, l’aménagements des centres de loisirs pour les jeunes, l’équipement des différents corps de métiers en outils de travail…
Il fait partie d’une liste de six cracs candidats de l’Union pour la République : le ministre IHOU Atibè, M. KAKATSI Mawussi Directeur Général de la CEET, le député sortant, l’honorable NYATCHO, M. AZANKPO, ou encore l’enseignant chercheur ASSEDI Emilien.
Ces actions directes visent à assurer le quotidien des populations. Les mentalités ont dépassé le mode classique de campagne électorale, et les candidats UNIR de l’Amou l’ont bien su pour anticiper sur les doléances des populations qu’ils ont transformées en lettre de mission pour le mandat qu’ils sollicitent auprès de leurs électeurs.
Même le boycott du scrutin par les partis radicaux de l’opposition, membres de la coalition C14, n’a pas refroidi les candidats de l’Amou ; ils ont maintenu les enjeux au même degré, en vue de convaincre, ou encore de séduire les militants ou sympathisants des autres tendances politiques.
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